CasusNO

BlackJack a écrit : ↑ven. oct. 31, 2025 10:15 am Juste pour les tests diagnostiques du cancer on a des précédents avec le Psa et le dépistage systématique des cancers du sein que c'est une mauvaise idée.
Sur prise en charge de pathologie qui finalement en anatomopathologie s’avèrent bénigne, complications chirurgicales etc etc..

https://cancer-rose.fr/2023/10/29/depis ... -synthese/
 

Dr Hiatus a écrit : ↑ven. oct. 31, 2025 11:04 am

BlackJack a écrit : ↑ven. oct. 31, 2025 10:15 am Juste pour les tests diagnostiques du cancer on a des précédents avec le Psa et le dépistage systématique des cancers du sein que c'est une mauvaise idée.
Sur prise en charge de pathologie qui finalement en anatomopathologie s’avèrent bénigne, complications chirurgicales etc etc..

https://cancer-rose.fr/2023/10/29/depis ... -synthese/

Après une lecture diagolacunale : l'article parle plus d'effets secondaires du surdiagnostics, mais ne conclut pas sur l'inutilité du dépistage ? Ca explique plus pourquoi ça peut être une mauvaise idée que ça n'affirme que c'en est une, ou j'ai vraiment lu que ce qui m'a plu ?
Mais sinon oui, plus on (se) malinforme, plus on stresse. Alors sur la santé !

Je suppose que ça peut amener une question de protocole, du moment où tu dépistes des asymtomatiques : à quel âge, dans quel contexte, quel mode de vie des gens qui augmentent le risque...
Mais bon, je suis content quand même que des outils rapides et valables pour beaucoup de cancers soient accessible.

Dr Hiatus a écrit : ↑ven. oct. 31, 2025 2:19 pm Merci ducou !
Je vais amender dans mon blog quand j'aurai une minute de poste personnel.

Un peu déçu par la bbc, j'en avais une image plus fiable

Un archéologue primé pour la découverte des vestiges d'un édifice circulaire labyrinthique vieux de 4000 ans en Crète

L'année dernière, des fouilles menées dans un bâtiment minoen unique situé sur la colline de Papoura, en Crète, ont révélé une structure circulaire qui a immédiatement suscité des comparaisons avec le célèbre labyrinthe, une structure légendaire associée à la mythologie grecque.

Aujourd'hui, ce site antique, précédemment qualifié de « l'une des découvertes archéologiques les plus importantes du XXIe siècle » par Costas Paschalidis, président de l'Association des archéologues grecs, a reçu le prix Palmyre d'Archéologie récompensant la meilleure découverte archéologique de 2024.
(...)
Le bâtiment de Papoura possède une configuration circulaire unique qui, selon les archéologues participant aux fouilles, ne ressemble à aucune autre structure similaire connue dans la Crète préhistorique et n'a aucun équivalent connu parmi les structures antiques de la région égéenne.

Le bâtiment mesure près de 50 mètres de diamètre et couvre près de 1 800 mètres carrés, ce qui en fait également une structure de grande taille pour cette période. À l'intérieur de la structure circulaire principale se trouve une série de huit anneaux de pierre qui apparaissent à différentes hauteurs, la plus grande caractéristique, un élément circulaire connu sous le nom de « zone A », apparaissant au centre.
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Au début des fouilles, les archéologues ont remarqué que, bien que certains aspects de l'apparence d'origine de la structure restent indéterminés en raison des dommages qu'elle a subis au cours des millénaires, celle-ci pouvait à l'origine avoir une forme presque conique, et les espaces étrangement organisés de la structure, reliés par des ouvertures étroites, ont rapidement été qualifiés de « presque labyrinthiques » par les fouilleurs.

La décarbonation du ciment a commencé

Des systèmes de capture du carbone à échelle commerciale destinés aux cimenteries sont actuellement mis en place, ce qui laisse espérer que l'un des secteurs industriels les plus difficiles à décarboner pourrait enfin s'engager sur la voie de la neutralité carbone.

La première usine de capture du carbone au monde dans une cimenterie est en service en Norvège depuis juin.
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Par ailleurs, la construction d'une installation de capture du carbone à la cimenterie de Padeswood, dans le nord du Pays de Galles, débutera dans quelques semaines, à la suite d'un accord de subvention annoncé cette semaine entre le gouvernement britannique et Heidelberg Materials. Une poignée d'installations similaires sont prévues en Suède, en Allemagne et en Pologne.

Ces développements pourraient marquer une avancée majeure dans la réduction des émissions de l'industrie cimentière, longtemps considérée comme l'un des aspects les plus difficiles de la décarbonisation. « C'est un bon pas en avant », déclare Paul Fennell, de l'Imperial College de Londres, à propos des projets en Norvège et au Royaume-Uni.

Selon le groupe de réflexion Chatham House, le ciment est responsable d'environ 8 % des émissions mondiales de carbone.
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Le développement de l'usine Heidelberg de Brevik en Norvège a été subventionné par le gouvernement norvégien. L'infrastructure de capture du carbone permet de capter 50 % des émissions totales de l'usine de ciment. Elle fonctionne à l'aide d'un solvant dérivé de l'ammoniac, appelé amine, qui extrait le CO2 des gaz d'échappement de l'usine de ciment. Le CO2 capturé est ensuite libéré du solvant, liquéfié et pompé sous les fonds marins norvégiens.

L'usine de Padeswood utilisera la même technologie à base d'amines, mais éliminera environ 95 % des émissions de l'usine une fois que l'infrastructure de capture et de stockage du carbone sera opérationnelle en 2029, selon Simon Willis, PDG de Heidelberg Materials au Royaume-Uni. Cela équivaut à environ 800 000 tonnes de dioxyde de carbone par an. L'usine de Padeswood capturera plus de carbone que celle de Brevik, car cette dernière n'a pas pu obtenir l'approvisionnement énergétique supplémentaire nécessaire pour fonctionner à 95 % de sa capacité.

Le soutien financier des gouvernements est essentiel pour construire la première flotte d'usines de ciment équipées de systèmes de capture et de stockage du carbone, explique Leon Black, de l'université de Leeds au Royaume-Uni. « La capture et le stockage du carbone ne peuvent en aucun cas être viables commercialement sans le soutien de l'État », ajoute-t-il.

Mais on espère que les coûts pourraient baisser à l'avenir, grâce à de nouvelles technologies qui contribuent à améliorer l'efficacité énergétique. En Allemagne, par exemple, Heidelberg fait partie d'un groupe d'entreprises qui testent la technologie oxyfuel. Celle-ci consiste à recycler les gaz d'échappement dans le brûleur, ce qui augmente la part de CO2 dans les gaz d'échappement rejetés à environ 70 %, rendant ainsi les processus de capture du carbone plus efficaces.

Des déchets de levure de bière pour faire de la fringue solide

Un sous-produit de la fermentation pourrait contribuer à résoudre deux défis mondiaux majeurs : la faim dans le monde et l'impact environnemental de la mode éphémère. Les résidus de levure issus de la fabrication de la bière, du vin ou même de certains produits pharmaceutiques peuvent être réutilisés pour produire des fibres hautement performantes, plus résistantes que les fibres naturelles et ayant un impact environnemental nettement moindre, selon une nouvelle étude menée par des chercheurs de l'université Penn State et publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences.

La biomasse de levure, composée de protéines, de molécules grasses appelées lipides et de sucres, issue de la production d'alcool et de produits pharmaceutiques, est considérée comme un déchet, mais l'auteur principal, Melik Demirel, professeur d'ingénierie Pearce et titulaire de la chaire Huck en matériaux biomimétiques à Penn State, a déclaré que son équipe avait réalisé qu'elle pouvait réutiliser ce matériau pour fabriquer des fibres à l'aide d'un procédé déjà existant.
(...)
« Nous avons démontré avec succès que ce matériau peut être fabriqué à moindre coût – pour 6 dollars ou moins le kilogramme, contre 10 à 12 dollars le kilogramme pour la laine – avec beaucoup moins d'eau et de terres, mais avec des performances améliorées par rapport à toutes les autres fibres naturelles ou transformées, tout en éliminant presque totalement les émissions de gaz à effet de serre. Les ressources ainsi économisées pourraient être utilisées à d'autres fins, comme la reconversion des terres pour l'économie de subsistance. »

« Pour l’ensemble de la population, le recours aux soins reste insuffisant », observe Santé publique France : environ quatre personnes sur dix concernées par un épisode dépressif sévère ont déclaré n’avoir bénéficié d’aucun recours thérapeutique. C’est plus de la moitié des actifs parmi les agriculteurs, artisans, commerçants, chefs d’entreprise et ouvriers. Le médecin généraliste apparaît comme le premier recours, en particulier pour les femmes et en cas d’épisode dépressif sévère.

[...]

En cas de détresse ou d’idées suicidaires, des professionnels sont joignables gratuitement en permanence au numéro de prévention 31 14, rappelle aussi Santé publique France.

Dr Hiatus a écrit : ↑jeu. oct. 09, 2025 6:59 pm Un mystérieux monument du Néolithique rempli d'armes découvert en Bourgogne

Infocerise en conserve de 2024.

C'est une découverte exceptionnelle qui vient d'être faite par l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) à Marliens, près de Dijon, en Bourgogne. Les archéologues ont mis au jour un drôle de monument en forme de forme de fer à cheval contenant tout un tas d'armes et d'ornements datant de plusieurs périodes historiques. Une découverte «sans précédent», soulignent les scientifiques.
(…)
Le site de Marliens, où des fouilles sont menées sur plus de 60.000 mètres carrés, est une véritable mine d'or (au sens figuré) pour les archéologues, qui y trouvent à la fois des signes d'occupation depuis le Néolithique jusqu'au premier âge du fer, qui a commencé vers 1.200 avant J.-C.

https://www.slate.fr/story/266585/myste ... e-fouilles

Ca date de l'an dernier, je lis l'article qu'aujourd'hui. C'est moins la fraicheur de la cerise que cette "ancienneté multiple" qui lui vaut d'être récoltée !
L'idée que sur la planète, ya des lieux utilisés sur des millénaires mais qu'on le sait pas encore.

Son prix est estimé entre 2 et 3 millions d’euros, et il n’en existe plus que huit modèles dans le monde. Cet objet est l’unique Pascaline d’arpentage, qui permet de calculer les pieds, les toises et les pouces.

Deux autres types de Pascaline existent, certaines destinées au calcul de décimales, d’autres pour des opérations comptables, notamment monétaires. « Cette machine a dû répondre à une commande particulière faite à Blaise Pascal », a insisté lors de l’audience Laurence Plazenet, présidente de la Société des amis de Port-Royal.

Le chœur de l'aube

Pour de nombreuses espèces d'oiseaux, l'aube est le moment crucial où ils chantent leurs chansons dans un concert polyphonique matinal connu sous le nom de « chœur de l'aube ». Derrière chaque espèce d'oiseau que l'on peut entendre se cache tout un réseau de relations biologiques. Les oiseaux sont donc souvent considérés comme des espèces indicatrices. Les enregistrements sonores du chœur de l'aube sont donc importants non seulement pour la documentation scientifique des espèces animales existantes, mais ils permettent également de tirer des conclusions sur des écosystèmes entiers.

Ce concert collectif matinal s'est probablement développé parce qu'il y a particulièrement peu de mouvements d'air à cette heure de la journée. La nuit a entraîné un refroidissement uniforme et des différences de température équilibrées. Tant que le soleil ne peut pas encore réchauffer certaines zones, il y a peu de vent. Dans ces conditions, le chant porte particulièrement loin. Une autre théorie est que les oiseaux utilisent le crépuscule de l'aube pour des chants (de séduction) plus ostensibles, car ils sont moins visibles pour certains prédateurs à cette heure-là.

Une preuve mathématique réfute l'idée selon laquelle l'univers serait une simulation informatique

Le Dr Mir Faizal, professeur adjoint à la faculté des sciences Irving K. Barber de l'Université de Colombie-Britannique à Okanagan, et ses collègues internationaux, les Drs Lawrence M. Krauss, Arshid Shabir et Francesco Marino, ont démontré que la nature fondamentale de la réalité fonctionne d'une manière qu'aucun ordinateur ne pourrait jamais simuler.

Leurs conclusions, publiées dans le Journal of Holography Applications in Physics, vont au-delà de la simple suggestion que nous ne vivons pas dans un monde simulé comme dans Matrix.
(...)
La théorie de pointe actuelle, la gravité quantique, suggère que même l'espace et le temps ne sont pas fondamentaux. Ils émergent de quelque chose de plus profond : l'information pure.
(...)
C'est là que cela devient intéressant. L'équipe a démontré que même ce fondement basé sur l'information ne peut décrire pleinement la réalité à l'aide du seul calcul. Elle a utilisé d'importants théorèmes mathématiques, notamment le théorème d'incomplétude de Gödel, pour prouver qu'une description complète et cohérente de tout nécessite ce qu'elle appelle une « compréhension non algorithmique ».

Pensez-y de cette façon. Un ordinateur suit des recettes, étape par étape, quelle que soit leur complexité. Mais certaines vérités ne peuvent être comprises que par une compréhension non-algorithmique, c'est-à-dire une compréhension qui ne découle d'aucune séquence d'étapes logiques. Ces « vérités gödéliennes » sont réelles, mais impossibles à prouver par le calcul.

Itiner-e : un nouvel ensemble de données sur les routes de l'Empire romain

Une équipe de recherche internationale a créé une nouvelle cartographie des routes de l'Empire romain. La carte qui en résulte comprend près de 300 000 km de routes, soit près de deux fois plus que ce que l'on trouve d'habitude sur des cartes historiques. Cet immense réseau routier témoigne de la puissance de cet empire. Le site Itiner-e a pour objectif de proposer la base de données numériques ouverte la plus détaillée possible sur les routes de l'Empire romain. La création de ces données est un projet collaboratif de la communauté scientifique. Itiner-e permet de visualiser, d'interroger et de télécharger l'ensemble des données sur les voies romaines.

Une équipe chinoise annonce la première extraction de minéraux de terres rares à partir d'une plante vivante

Une équipe de scientifiques dirigée par des chercheurs chinois affirme avoir découvert un minéral naturel contenant des éléments de terres rares dans une fougère, une première mondiale.
(...)
« À notre connaissance, il s'agit de la première occurrence rapportée d'éléments de terres rares cristallisant en phase minérale au sein d'un hyperaccumulateur », ont-ils déclaré.

« Ces travaux confirment la faisabilité du phytomining et introduisent une approche innovante, basée sur les plantes, pour le développement durable des ressources en éléments de terres rares », a écrit l'équipe dans la revue scientifique Environmental Science & Technology ce mois-ci.
(...)
Dans un communiqué publié jeudi, l'Institut de géochimie de Guangzhou a déclaré que cette étude offrait « une nouvelle voie pour l'utilisation durable des ressources en terres rares ».

« En plantant des plantes hyperaccumulatrices, il est possible de récupérer des terres rares de grande valeur tout en assainissant les sols pollués et en restaurant l'écologie des résidus de terres rares, ce qui permet de mettre en place un modèle circulaire écologique d'« assainissement et de recyclage simultanés », selon l'Institut.

Une équipe chinoise annonce la première extraction de minéraux de terres rares à partir d'une plante vivante

Une équipe de scientifiques dirigée par des chercheurs chinois affirme avoir découvert un minéral naturel contenant des éléments de terres rares dans une fougère, une première mondiale.
(...)
« À notre connaissance, il s'agit de la première occurrence rapportée d'éléments de terres rares cristallisant en phase minérale au sein d'un hyperaccumulateur », ont-ils déclaré.

« Ces travaux confirment la faisabilité du phytomining et introduisent une approche innovante, basée sur les plantes, pour le développement durable des ressources en éléments de terres rares », a écrit l'équipe dans la revue scientifique Environmental Science & Technology ce mois-ci.
(...)
Dans un communiqué publié jeudi, l'Institut de géochimie de Guangzhou a déclaré que cette étude offrait « une nouvelle voie pour l'utilisation durable des ressources en terres rares ».

« En plantant des plantes hyperaccumulatrices, il est possible de récupérer des terres rares de grande valeur tout en assainissant les sols pollués et en restaurant l'écologie des résidus de terres rares, ce qui permet de mettre en place un modèle circulaire écologique d'« assainissement et de recyclage simultanés », selon l'Institut.

Les espaces verts protègent la santé mentale dans le monde entier

Plantez plus d'arbres, réduisez les séjours à l'hôpital. Tel est le message central d'une vaste étude menée par une équipe de chercheurs internationaux qui a rassemblé 11,4 millions d'admissions en hôpitaux psychiatriques provenant de 6 842 établissements répartis dans sept pays sur une période de deux décennies.
(...)
L'équipe a utilisé une mesure satellite appelée indice de végétation par différence normalisée (NDVI), une mesure couramment utilisée qui indique la quantité de matière végétale photosynthétique présente dans une zone donnée.

Les experts ont mis en relation ces valeurs NDVI avec les admissions à l'hôpital pour tous les troubles mentaux combinés et six catégories spécifiques : troubles psychotiques, troubles liés à la consommation de substances, troubles de l'humeur, troubles du comportement, démence et anxiété.
(...)
Dans l'ensemble des données regroupées, une végétation locale plus dense était associée à une réduction de 7 % des hospitalisations pour tous les troubles mentaux.

Cette association était encore plus forte pour certains diagnostics : environ 9 % de moins pour les troubles liés à la consommation de substances, 7 % de moins pour les troubles psychotiques et 6 % de moins pour la démence.

Ces chiffres ne sont pas négligeables si l'on considère l'ampleur du problème : en 2021, 1,1 milliard de personnes dans le monde vivaient avec un trouble mental, ce qui représente environ 14 % de la charge mondiale de morbidité.

Il faut à peine 250 document pour empoisonner un LLM

L'empoisonnement et la manipulation des grands modèles linguistiques (LLM) qui alimentent les agents IA et les chatbots étaient auparavant considérés comme une tâche de piratage de haut niveau, nécessitant beaucoup de puissance et de concentration. Mais en réalité, cela s'avère beaucoup plus facile à réaliser qu'on ne le pensait auparavant.

Dans une étude récente, des chercheurs d'Anthropic, du UK AI Security Institute et de l'Alan Turing Institute ont découvert qu'ils pouvaient réussir à pirater des modèles d'IA de différentes tailles à l'aide de seulement 250 documents corrompus. Leur étude a bouleversé l'hypothèse selon laquelle les pirates devaient contrôler un certain pourcentage des données d'entraînement pour manipuler le comportement d'un modèle et a montré qu'un petit nombre fixe de documents malveillants suffisait.

La recherche offre un espoir pour les coraux qui s'adaptent à l'acidification des océans

« L'acidification des océans menace la formation du squelette des coraux en raison de la réduction du taux de saturation de l'aragonite (ΩAr) dans l'eau de mer. Étant donné que les coraux fabriquent leur squelette à partir d'un fluide calcifiant fourni par l'eau de mer, la réduction du taux de ΩAr dans l'eau de mer devrait, en théorie, perturber la calcification. Ici, nous reconstituons jusqu'à 200 ans d'ΩAr du fluide calcifiant des coraux, à l'aide de techniques de spectroscopie Raman, avec une résolution mensuelle approximative, à partir de deux carottes squelettiques de Porites sp. provenant de la région de la mer de Corail, afin d'étudier (i) la régulation de l'ΩAr du fluide calcifiant des coraux et (ii) la réponse de la calcification squelettique à l'acidification des océans à l'ère industrielle. Nos résultats révèlent une augmentation significative de l'ΩAr du fluide calcifiant, ce qui suggère que certains coraux pourraient s'adapter au rythme de l'acidification dans la nature plus efficacement que ne le suggèrent les études de laboratoire à court terme.

Une nouvelle étude sur les jumeaux identiques bouleverse le débat entre inné et acquis

Une nouvelle analyse d'études menées au cours du siècle dernier révèle que les différences en matière de scolarité semblent expliquer en grande partie l'écart de QI entre des jumeaux identiques élevés dans des foyers séparés. La recherche suggère que lorsque ces jumeaux reçoivent une éducation similaire, leurs scores de QI sont presque aussi similaires que ceux de jumeaux identiques élevés ensemble, mais lorsque leur scolarité est très différente, leurs QI peuvent être aussi dissemblables que ceux d'étrangers sans lien de parenté. Les résultats ont été publiés dans la revue scientifique Acta Psychologica.
(...)
Ils ont recherché toutes les études disponibles contenant des données individualisées sur des jumeaux monozygotes qui avaient été élevés séparément. Pour être inclus dans leur nouvelle analyse, un cas devait fournir non seulement le QI de chaque jumeau, mais aussi des informations biographiques sur leur scolarité.

Après avoir passé au crible des milliers d'articles, ils ont compilé un ensemble de données sur 87 paires de jumeaux provenant de 19 études différentes et de deux communications personnelles avec d'autres chercheurs. Les auteurs estiment que cette collection représente l'intégralité des données non amalgamées disponibles dans ce domaine.
(...)
Pour les 52 paires ayant suivi une scolarité similaire, la différence moyenne de QI n'était que de 5,8 points, et la corrélation intraclasse était très élevée, à 0,87. Ce résultat les rend presque impossibles à distinguer des jumeaux monozygotes élevés ensemble dans le même foyer, qui présentent généralement une différence d'environ 6,0 points de QI.

Pour les 25 paires ayant suivi des parcours scolaires « quelque peu différents », la différence moyenne de QI est passée à 12,1 points, avec une corrélation intraclasse de 0,80. Ce niveau de différence est plus comparable à celui observé entre des frères et sœurs non jumeaux élevés dans la même famille.

Le résultat le plus frappant concerne les 10 paires ayant suivi des parcours scolaires « très différents ». Dans ce groupe, la différence moyenne de QI était de 15,1 points. Cet écart se rapproche de la différence moyenne observée entre deux individus non apparentés choisis au hasard, qui est d'environ 17 points. La corrélation intraclasse pour ce groupe est tombée à 0,56, une valeur beaucoup plus proche de celle observée entre frères et sœurs non jumeaux. La tendance était claire : à mesure que les différences de scolarité entre les jumeaux identiques augmentaient, les différences dans leurs scores de QI augmentaient également de manière substantielle.

Dr Hiatus a écrit : ↑jeu. nov. 20, 2025 6:18 pm Une preuve mathématique réfute l'idée selon laquelle l'univers serait une simulation informatique